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En 2006, à l'âge de 16 ans, j'ai publié mon premier livre, L'île du Diable. Un roman policier de presque quatre cents pages. 

Je me souviens encore d'un collègue au secondaire qui passait dans le couloir le jour où il est sorti des presses, qui me disait qu'il ne serait jamais capable de lire une brique pareille. Et sa surprise de constater que ce n'était pas un livre que j'avais acheté : c'était un livre que j'avais écrit. Ce qui voulait dire qu'à notre âge, il était possible de publier un livre.

 

J'ai eu beaucoup de chance : la publication du roman a suscité un grand enthousiasme dans ma communauté, et même au-delà. J'ai participé au salon du livre de Montréal, de Québec, de Paris. Je suis allée parler de mon expérience dans plusieurs écoles secondaires. J'ai appris beaucoup de choses sur le tas, sur la nécessité de participer à des activités de toutes sortes pour gagner de la visibilité. Voyages, rencontres, activités culturelles... j’accomplissais un rêve.

 

Aujourd’hui, Je regarde mes publications de jeunesse avec un sourire aux lèvres. Je n'écrirais pas les mêmes livres à trente ans, c'est certain, mais cela me fait plaisir de constater que les ados découvrent encore mes premiers romans avec enthousiasme. Dans les événements littéraires auxquels je participe, L'île du Diable continue à susciter de la curiosité chez les jeunes envers le monde du livre, et j’en suis très heureuse. 

Tarcau Miruna
Une atmosphère de suspense
ISBN 2-89590-082-5  - roman de 384 pages - 26,95 $
Quatrième de couverture
Un mystérieux manoir perdu sur une île au beau milieu de la Manche… Un testament léguant une fortune fabuleuse et quelques héritières qui n’hésiteront pas à mettre tout en œuvre pour récupérer le magot… Des coups de feu, des empoisonnements, des meurtres… Et un jeune policier, arrivé là comme un cheveu sur la soupe, qui tente, tant bien que mal, de voir clair dans ces ténèbres…
Miruna Tarcau a publié ce roman à l'âge de seize ans et elle a commencé sa rédaction alors qu’elle n’en avait qu’onze! Avec un sens du suspense digne d’une jeune Agatha Christie et un style vivant qui jamais ne s’essouffle, Miruna Tarcau réussit un véritable tour de force avec L’Île du Diable, qui est sa première œuvre publiée mais certainement pas sa dernière.

16 ans et un roman

 

Rares sont ceux et celles qui peuvent se targuer d’avoir participé au Salon du livre de Montréal à l’âge de 16 ans. Miruna Tarcau, elle, peut le faire. (…) Son tout premier roman, L’île du Diable, est un imposant roman policier, bien ficelé, où l’influence d’Agatha Christie est palpable. (…)

 

L’intrigue de 400 pages explore les aventures d’un policier qui passe une semaine dans un manoir isolé sur une île de la Manche. Des amis de la maîtresse de maison y sont rassemblés et dès le premier soir, des événements étranges s’y produisent. Attentats, suicides, meurtres, empoisonnements et coups de feu se succèdent. Chaque fois que le jeune détective enquête, il se retrouve sur une fausse piste, ce qui n’est pas sans laisser le lecteur indemne.

Geneviève Allard, L'Express Outremont, 14 décembre 2006. 

Miruna Tarcau, 16 ans et auteure

 

À 11 ans, Miruna Tarcau n’en pouvait plus d’attendre le cinquième Harry Potter, elle entreprend donc de l’écrire. Elle ne se doutait pas à ce moment-là que, cinq ans plus tard, elle lancerait au Salon du livre de Montréal sa propre histoire, L’île du Diable. (…)

 

Inspirée par Agatha Christie, Miruna invente un récit en huit clos sur une île entre la France et l’Angleterre où une petite fête entre amis est troublée par la présence d’un meurtrier. (…) Si l’étape d’écriture a été un jeu d’enfant pour Miruna Tarcau, publier son script s’est avéré beaucoup plus complexe. (…) Beaucoup d’éditeurs m’ont suggéré de proposer mon histoire à des maisons d’édition jeunesse ou de ne pas mentionner mon âge, dit-elle. Un dernier conseil qui a porté fruit. 

 

Claude Bouchard, Cités nouvelles, 23 janvier 2007.

L’esprit fertile d’une jeune auteure

 

À peine de retour de la France, où elle a présenté son premier roman L’Île du Diable au Salon du livre de Paris, l’auteure âgée de 16 ans Miruna Tarcau fera de même à la bibliothèque de Kirkland, où elle a pris goût à la lecture, le dimanche 27 mai, de 14h à 15h.

 

Durant le Salon, des étudiantes de son âge et de son niveau, cinquième secondaire, ont réalisé un reportage sur elle dans le cadre d’un travail scolaire, où elles devaient rencontrer une auteure. « Le fait d’avoir le même âge a facilité les choses », s’empresse de préciser Miruna Tarcau, qui a aussi passé une entrevue d’auteure à la radio nationale française sur une chaîne à grand public dans le cadre du Salon du livre de Paris.

 

Alexandre Gauthier, Cités nouvelles, 11 mai 2007

Miruna Tarcau, une jeune Agatha Christie de nos jours

 

Une rencontre avec la jeune écrivaine Miruna Tarcau est comme un jeu-surprise matriochka qui emboîte plusieurs poupées. J’avais lu dans la présentation de son livre : « Une auteure est née » et j’étais impatiente de connaître « la jeune Agatha Christie ». 

 

J’ai découvert une jeune fille très ouverte, qui aime dialoguer, prêter attention à tout ce qui se passe dans l’actualité. Elle joue du piano depuis neuf ans, elle a fait du ballet jazz pendant huit ans, elle a étudié le dessin, a fait du théâtre et a suit des cours de cinéma. Son côté romantique aime les arts, la poésie, la nature; l’autre côté d’exploratrice aime sonder l’inconnu, le suspense de l’aventure, l’histoire et les sciences. 

 

La maturité de ses propos est conjuguée d’une joie et d’une sincérité débordantes. Quand elle parle, elle est tellement expressive; je n’étais pas du tout étonnée quand elle m’a avoué son envie d’animer d’activités pour les jeunes. Ses talents et ses idées éclatantes sont maintenant acheminées vers un but ambitieux : écrire et publier des livres.

Otilia Tunaru, Terra Nova magazine, octobre 2006

Nous croyons avoir le privilège à Culturehebdo de pouvoir signaler pour la première fois la présence d'une sourdouée en  littérature. Elle a pour nom Miruna Tarcau. Tout juste seize ans, et qui vient d'accoucher après cinq ans de gestation de L'Île du Diable. Qui raconte l'histoire d'un jeune détective qui est invité à séjourner dans un manoir. Durant une semaine et même dès le premier soir, il va se passer des choses étranges dont des meurtres. C'est une facture assez classique au roman policier. Mais l'étonnant c'est de voir que cette auteure adolescente possède une maîtrise exceptionnelle de la langue française. A la lecture on sait tout de suite qu'on a affaire à une fille intellectuellement supérieure et ça nous donne le frisson. Qu'à cet âge elle ponde un premier roman si solide nous jette par terre. Quel beau destin littéraire en perspective. (...)

Culture hebdo

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