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La Guerre des Titans

Dans les années 2000, comme beaucoup d’ados de ma génération, j’ai grandi au contact de la fantasy héroïque. Bien avant Hunger Games, je rêvais de découvrir une série qui mettrait en scène une héroïne ambiguë, une femme calquée sur le modèle d’Hercule.  

 

Sans être bête, je ne voulais pas que sa force consiste dans une capacité à ruser que l’on dit féminine. Je ne voulais pas non plus qu’elle grimpe les échelons sociaux en se servant de ses charmes. Non : j’ai voulu qu’elle soit forte comme Fifi Brindacier ; et comme elle, avec un bon fond. Le modèle qui m’est venu à l’esprit était celui d’Hercule dans la mythologie grecque. De la force brute, pas très rusé, capable de transformer le nettoyage d’une écurie en un projet kick ass.

 

J’ai eu beaucoup de plaisir à imaginer une version de l’Antiquité grecque où une femme kick ass comme elle ne se faisait pas rentrer dedans par des dieux-agresseurs et des héros douchebag. Et, au-delà de ce monde que j’ai appelé la deuxième dimension, j’ai créé mes propres univers inspirés de Tolkien et de la mythologie nordique.

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Le choix de Selenæ

286 pages
15 x 21,5 cm, 2007
ISBN: 978-2-923438-17-7
Prix: 19,95 $ (CAN)

Christian Feuillette éditeur

Tarcau Miruna

 

Le choix de Selenæ, premier volet de la saga La guerre des Titans, narre le déclenchement d’une guerre de pouvoir, d’insurrection et de liberté où il n’y a ni bon ni mauvais côté. Partagée entre deux camps, celui de sa sœur Éanélès, qui est aussi celui des dieux de l’Olympe ainsi que des Titans, et celui du chef des Enfers, son père Hel, qu’elle n’a jamais connu, Selenæ est confrontée à un choix cruel. Qui devra-t-elle trahir? Avec le seul secours de sa légendaire épée, elle découvre la peur de la mort à travers son voyage dans la Quatrième Dimension, celle des mortels. Sur elle repose toute la survie d’un monde... 


 

Visant le public des adolescents et des jeunes adultes, cette histoire fantastique se démarque des autres sagas médiévales ou magiciennes. L’intrigue se déroule dans plusieurs dimensions de notre Terre, et traverse plusieurs époques, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, où la fameuse guerre, la guerre des Titans, oblige chaque être humain à choisir son camp. Pour qui prendre parti? Les dimensions se séparent ; ennemis de toujours se voient obligés de se rallier pour survivre...

 

Ayant publié en 2006, à l’âge de 16 ans, son premier roman L’île du diable, qu’elle avait commencé dès l’âge de onze ans, Miruna Tarcau est une auteure aussi douée que précoce. Passionnée de lecture, elle développe depuis plus de six années un concept de saga fantastique qui constitue aussi une fable sur la guerre. À la suite de voyages en Italie et en Grèce et de nombreuses recherches menées sur l’histoire antique, Miruna a su acquérir la capacité de développer ses idées et structurer son imagination. â€¨â€¨

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La naissance de l'élu

366 pages
15 x 21,5 cm, 2009
ISBN: 978-2-923438-26-9
Prix: 21,95 $ (CAN)

Christian Feuillette éditeur

Tarcau, Miruna

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La naissance de l’Élu, second volet de La guerre des Titans, évolue autour d’une histoire d’amour entre Selenæ, qui s’est rangée du côté des Titans, et le chef du camp adverse, qui est soumis à l’autorité des Démons : Donovan. Au fil de ce récit, le lecteur découvre un autre point de vue du conflit. L’aspect héroïque cède le pas à l’évidence de l’absurdité de la guerre, entièrement contrôlée par les dirigeants des deux camps, qui ne s’attendent pas réellement à ce qu’il y ait un vainqueur. Tout n’est qu’une question de défendre les intérêts personnels des riches au détriment des classes sociales inférieures qui aspirent avant tout à la paix, à l’union et à la liberté. 


Visant le public des adolescents et des jeunes adultes, cette fantasy mythologique se démarque des autres sagas médiévales ou magiciennes. L’intrigue se déroule dans plusieurs dimensions de notre Terre, et traverse plusieurs époques – depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours –, où le conflit oblige chaque être humain à choisir son camp. Voulant rompre avec les clichés de combats typiques du bien contre le mal, l’auteure présente résolument une perspective différente de la guerre.

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Ayant publié à l’âge de 16 ans, son premier roman L’île du diable, Miruna Tarcau est une auteure aussi douée que précoce. Passionnée de lecture, elle développe depuis plusieurs années un concept de saga fantastique, La guerre des Titans, qui constitue aussi une fable sur la guerre. Le premier volet de cette saga, Le choix de Selenæ, confrontait l’héroïne à un choix cruel entre deux camps: celui de sa sœur Éos, qui est aussi celui des dieux de l’Olympe ainsi que des Titans, et celui du chef des Enfers, son père Hel, qu’elle n’a jamais connu. 

La jeune auteur, qui a publié l'an passé, à 16 ans, son premier roman L'île du diable, nous propose ici le premier volet d'une saga fantastique, dont elle développe le concept depuis six ans. Il s'agit aussi d'une fable sur la guerre. (...)

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Le choix de Selenæ, premier volet de la saga La guerre des Titans relate le déclenchement d'une guerre de pouvoir, d'insurrection et de liberté où il n'y a ni bon ni mauvais côté. L'intrigue se déroule dans plusieurs dimensions de notre Terre, et traverse plusieurs époques. Les dimensions se séparent ; ennemis de toujours se voient obligés de se rallier pour survivre…

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Partagée entre deux camps, d'une part celui de sa sœur Éos, qui est aussi celui des dieux de l'Olympe ainsi que des Titans, et d'autre part celui du chef des Enfers, son père Hel, qu'elle n'a jamais connu, Selenæ est confrontée à un choix cruel. Qui devra-t-elle trahir ? Avec le seul secours de sa légendaire épée, elle découvre la peur de la mort à travers son voyage dans la Quatrième dimension, celle des mortels. Sur elle repose toute la survie d'un monde…

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Terra Nova Magazine, novembre 2007

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Une carrière à plusieurs dimensions

 

Interview avec la jeune écrivaine Miruna Tarcau et le directeur de la maison d’édition, M. Christian Feuillette​

      

J'ai rencontré Miruna Tarcau il y a un an. La jeune fille venait de faire publier son premier roman. Après avoir écrit des nouvelles et des poésies dans la revue de l'école et avoir participé à des concours d'improvisation, Miruna a réalisé à 16 ans une vraie performance littéraire : publier le roman policier L'Île du Diable, une brique de 400 pages dont l'action tient les lecteurs en haleine. La jeune écrivaine m'a confié qu'elle avait commencé a l'âge de onze ans à écrire et réécrire ce livre pour apprendre à structurer sa pensée. Cette auteure adolescente m'a épatée dès la première rencontre, car son talent et sa spontanéité ne peuvent laisser personne indifférent. Sa maîtrise exceptionnelle de la langue française et son style pétillant, son aisance pour créer le suspense et sa touche d'ironie m'ont agréablement surprise et m'ont convaincue que j'avais devant moi une écrivaine en chair et en os, qui travaille sérieusement pour peaufiner son art.

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Otilia Tunaru, Terra Nova Magazine, novembre 2007. 

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Miruna Tarcau : Paris c’est comme un grand musée

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Toujours enthousiaste et en même temps terre à terre. À n’importe quel moment et à n’importe quel endroit, Miruna Tarcau est capable de parler de ces travaux littéraires des heures et des heures, avec la même passion. Cette fois-ci, notre discussion c’est déroulée en mars, au Salon du livre de Paris, où la jeune écrivaine était présente pour la deuxième fois, avec son nouveau livre Le Choix de Selenæ, le premier tome de la saga fantastique La Guerre des Titans. (...)
 

Le travail complexe et minutieux de concrétisation, de mise en forme, de correction, fait de Miruna une écrivaine à part entière. En choisissant un style, son écriture devient de l’art. « Le style que j’utilise dans « Le choix de Selenae » est antique avec un vocabulaire précis concernant les noms, les comparaisons. C’est de la prose poétique avec beaucoup d’images », et pour elle « l’auteur doit croire à son histoire, doit être dedans la scène, doit sentir l’odeur ». Et pour cela, le travail de terrain et de documentation, les voyages, l’expérience de la vie, sont importants.  

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Madalina Vlasceanu, Terra Nova Magazine, avril 2008.

ROMANS
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